Vingt-sept octobre 2007, le Brésil est euphorique. La Fifa vient de confier au pays l’organisation de la 20e édition de la Coupe du monde de football. Promesse d’importantes retombées économiques, cette « Copa » doit alors symboliser la « réussite » du géant sud-américain et confirmer son statut de nouvelle « puissance émergée ». Depuis, pourtant, l’optimisme a cédé le pas à la colère et à la frustration comme le montre la multiplication récente des tensions et conflits sociaux dans le pays.
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